Nez, siège de l'imagination, des senteurs
Toi qui crées l'atmosphère et les décors embués,
Ne peux-tu point sentir plus d'heureuses odeurs,
Et dans mes rêves nocturnes, les restituer ?
Oreille attentive, souviens-toi de ces bruits
Tâches de les inclure en mes délires conscients.
Si toute la journée je pouvais avoir ri,
Ce soir, je ne serais, ni bouillant, ni tremblant.
Bouche qui ne savoure aucune lèvre fraîche
Cherches la légèreté, la tendresse et l'amour
D'un baiser partagé aussi doux qu'une pêche
Et saches conserver ce souvenir toujours.
La cabine |
Tout compte fait. râââh, ça me saoule ! J'arrive même pas à voir quand on me mets un commentaire. Tsss.
RépondreSupprimer"Bouche qui ne savoure aucune lèvre fraîche
Cherches la légèreté, la tendresse et l'amour
D'un baiser partagé aussi doux qu'une pêche
Et saches conserver ce souvenir toujours."
J'aime tout particulièrement ce passage. Et je suis contente que tu me prennes en citations, du moment que si tu les restitues ailleurs, tu mentionnes mon nom :).
Non non, ce n'est que pour te dire les passages qui me touchent. Je ne me permettrait pas de diviser tes textes et de les disperser ><"
RépondreSupprimerJe ne sais pas encore trop non plus comment me servir de blogspot... Mais on va apprendre ^^
Oui oui, on va bien trouver comment faut faire lol. Ah, d'ailleurs, ça y est ! J'ai trouvé je crois :D
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